I. – LA VIOLATION AUTORISÉE PAR LE SOIGNANT DE LA PROTECTION CORPORELLE DU PATIENT
A. – L’arbitrage par le médecin entre la vie et la mort du malade refusant des soins vitaux
B. – La sacralisation juridique de la vie face au refus de soins vitaux exprimé par le malade
II. – L’INDISPONIBILITÉ JURIDIQUE DE L’EXISTENCE DU MALADE PAR LUI-MÊME
A. – La non-disposition par le malade de son irréductible dignité humaine
B. – L’impossible droit subjectif au refus de soins vitaux